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PDG/Présidentielle 2023 au Gabon/5ème arrondissement de Libreville : Les mauvais élèves s’agitent

L’an 2023 venant en grande pompe, il serait dorénavant important pour nous de faire le tour des écuries qui seraient, semble-il, acquises à la cause du Président Ali Bongo Ondimba. Notre regard se tourne vers le 5ème arrondissement de la commune de Libreville. L’heure est au bilan, car les mêmes causes produisent les mêmes effets avions nous coutume de dire.

En jetant un regard panoramique sur l’ensemble des élections présidentielles de 2009 et 2016, car c’est de cela dont il s’agit, le candidat Ali Bingo a été laminé au 5ème arrondissement de la commune de Libreville en 2009 et 2016. Ces résultats, tout le monde s’en souvient comme si c’était hier. Qui étaient censé mettre en musique la politique du distingué camarade au 5ème pour lui donner une victoire cash ? Joseph Landry Mavoungou Ndong Biteghe alias petit papa, maire du 5ème de 2008 à 2018 et Gisèle Akoghet, ministre. Ces deux illustres camarades ont fait perdre à la province de l’Estuaire la primature. En claire ils ont géré deux présidentielles avec des espèces sonnantes et trébuchantes qui allaient avec, sans pouvoir faire gagner leur candidat dans leur arrondissement. Ce sont de mauvais élèves, il faut les sanctionner.
Au 5è arrondissement, les langues se délient chez les camarades pour dire qu’actuellement, pour reproduire le même scénario en 2023, ces tocards comme au tiercé quarté usent de tous les stratagèmes ; intimidations, délations, versent dans l’injure et des papiers rédigés à la dictée par leurs mercenaires de la plume afin de reprendre la gestion des élections de 2023 au 5ème. Leurs modus operandi est claire, faire barrage par tous les moyens, même les moins conventionnelles à une nouvelle génération de pédégistes vouée bec et ongle à défendre la politique d’Ali Bongo Ondimba au 5ème arrondissement.

Gisèle Akoghet

En 2007, pour se positionner à la mairie du 5ème arrondissement et barrer le chemin à un autre challenger sieur J.L Mavoungou Ndong Biteghe a dû faire appel à la fibre ethnique en faisant une adjonction de son patronyme pour s’appeler désormais « Ndong Biteghe ». « Mavoungou » sonnait trop…bilop ! Aujourd’hui il serait en passe de refaire la même gymnastique en rejetant ce même patronyme pour conserver uniquement « Mavoungou » ; car il ambitionnerait de récupérer le siège de « député bilop » laissé vacant par feu Guy François Mouguengui Koumba (paix à son âme) au 1er siège du 5ème arrondissement dont la suppléante n’est l’ombre que d’elle-même ; un poids plume.
Mais avec le retour au PDG de Karime Nziengui et d’Arsène Edouard Nkoghe Nzé, deux hommes de terrain dont l’encrage avec les populations n’est plus à démontrer, les cartes seraient à rebattre au sein du PDG. C’est pourquoi chaque action posé sur le terrain par ces néo-pédégistes mettraient les tocards dans une colère noire qui s’apparenterait aux transes observées sur un néophyte candidat à l’initiation qui aurait ingurgité une forte dose d’iboga. C’est dire que la tâche s’annonce rude et sans merci pour ces deux « bon à rien » qui n’auraient plus le sommeil tranquille. D’où leurs agitation dans le nuire pour nuire. Mais les populations du 5ème n’ont pas oublié la destruction de leur préscolaire à LALALA avec deux enfants du 5ème arrondissement ministre de la République (sic).
Gérer deux élections présidentielles pour deux échecs ; il serait urgent pour le Parti Démocratique Gabonais (PDG), parti au pouvoir de revoir sa copie, de mettre de côté cette équipe, car « un morceau de bois peut séjourner longtemps dans l’eau, il ne sera jamais crocodile ». Fait majeur, nous avions orienté notre boussole au 5ème à la recherche du siège du PDG, que nenni (ressic). C’est une preuve assez palpable pour constater la légèreté déconcertante avec laquelle les pseudos leaders PDG du 5ème conçoivent la politique d’Ali Bongo. Pourtant en nommant Feu Issoset Ngondet paix à son âme après la présidentielle de 2016 aux prestigieuses fonctions de Premier ministre, le chef de l’Etat a voulu récompenser les meilleurs élèvent en punissant les mauvais, d’où la perte de la primature à l’Estuaire. Alors, que les tocards du 5ème aillent au garage, le président de la République et le PDG ne peuvent plus rien attendre d’eux ; ils sont arrivé à saturation car ne pouvant plus rien proposer aux populations et les populations du 5ème ne sont pas dupe. Devrait-on reprendre les mêmes et perdre à nouveau ? That the question.

Lauent Lekogo

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