Les 24 et 25 octobre 2024 derniers, la ministre de la Communication et des Médias, Laurence Ndong, s’est rendue successivement dans deux établissements d’enseignement supérieur puis dans deux lycées de la capitale gabonaise dans le but de sensibiliser les apprenants et leur donner les rudiments pour lutter contre les fausses informations encore appelées Fake news. Ces rencontres s’effectuaient dans le cadre de la Semaine mondiale de l’éducation aux médias et à l’information (EMI), ayant pour thème : les nouvelles frontières numériques de l’information, organisée par le ministère de la Communication et des Médias en partenariat avec l’Unesco et en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de l’Éducation nationale chargé de la Formation professionnel.
A l’Institut national des sciences de gestion (INSG) et à l’Université Omar Bongo (UOB), marquant l’étape de lancement de la semaine mondiale de l’éducation aux médias et à l’information, Laurence Ndong, ministre de la Communication et des Médias, a animé des échanges enrichissants avec les étudiants sur l’utilisation responsable des réseaux sociaux et des techniques de vérification des informations. Ces rencontres, qui se sont poursuivies, le lendemain, au lycée Paul Indjendjet Gondjout et au lycée Notre dame de Quaben, avaient pour objectif de doter les apprenants des méthodes nécessaires pour naviguer avec discernement dans un paysage médiatique en constante évolution.
L’éducation aux médias et à l’information est essentielle dans notre société moderne. Elle permet aux apprenants de développer des compétences critiques pour analyser et évaluer l’information. En effet, la montée des Fake news représente une menace qui peut influencer négativement les décisions personnelles et collectives. C’est pourquoi des programmes comme ceux mis en place lors de cette semaine sont cruciaux. Ils offrent aux jeunes les outils et les stratégies pour naviguer dans un paysage médiatique souvent déroutant.
Laurence Ndong a joué un rôle central dans cette campagne de sensibilisation. En tant que ministre de la Communication et des Médias, elle a la responsabilité de promouvoir une culture d’information fiable. Son engagement à dialoguer avec les jeunes souligne l’importance de l’enseignement dans cette lutte. Par ses initiatives, elle démontre qu’il est possible d’encadrer les jeunes pour qu’ils deviennent des consommateurs d’information avertis. Ce genre d’approche pourrait réduire significativement la propagation des Fake news dans notre pays.