Le pouvoir d’Etat, singulièrement sur le continent, est, à l’usage, comme une drogue. Un stupéfiant dont la consommation prolongée et le vertige des atours et des attributs font dériver les moins préparés vers une espèce d’addiction à s’y cramponner. Que la drogue rende dingues ceux qui dirigeaient hier, d’accord, mais…

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