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Cappellogate au Gabon : Ils sont vraiment nés avant la honte !

Un scandale tragi-lamentable secoue les émergents actuellement. Celui du droit de cuissage sur des gamins qui voulaient jouer au ballon mais que des adultes, les voyant ramasser des ballons, ont tôt fait de les transformer en ramasseurs de clés. Ceux des cadres du régime se sont livrés à ce vil exercice ont pourtant des enfants à maison.

Nul doute que ces misérables étalons les transforment en jument de service. Il faut les voir dans leurs cylindrés aux abords des établissements secondaires de Libreville, attendant leurs proies à la sortie des cours pour une période nuptiale dans les motels. Elles entre 12 et 16 ans. Appâtées par le gain facile que leur miroitent les rabatteurs de service, qui ne sont autres que leurs propres condisciples de classe. La naïveté aidant, les faibles d’esprit ou en quête de « la présence d’esprit » tombent vite dans la nasse. Et mêmes les rabatteurs garçons passent parfois eux-mêmes à la casserole par souci d’argent. Car, face à la misère, l’argent fait parfois poser des actes odieux aux honnêtes gens. Des gabonais, sur ordres des impies ont tué d’autres gabonais moyennant de ridicules sommes d’argent pour prélever des parties de leur corps à livrer aux commanditaires à des fins fétichistes. Combien de nos sœurs n’ont pas vendu leur clito en contrepartie du gain ? Que dire de ceux qui proposent des centaines de millions pour assassiner des responsables institutionnels dans le but de s’ouvrir la voie du pouvoir d’Etat. Il y a enfin la transgression des mœurs et des tabous. Le Gabon est sous l’emprise du vice, de la perversion et du crime.

Les plaisirs sexuels sont devenus, pour certaines femmes et une catégorie d’hommes, du fétichisme sexuel. Les adeptes des ignobles pratiques de l’homosexualité et de la pédophilie renseignent sur leur état d’esprit. Pour les hommes, l’anus des autres mâles adultes et gamins est devenu une source de plaisir illimité. Ces prédateurs agissent à visage découvert sans crainte des réactions des parents et des autres compatriotes qui sont opposés à de tels actes qui sont impunis.

Quant aux femmes homo, elles s’adonnent frénétiquement à qui mieux-mieux aux ébats sexuels qui les transforment en mâles jaloux et fiers utilisateurs des phallus artificiels fabriqués par une industrie de la perversion et de la débauche qui se développe et innove continuellement ses produits. Désormais dans la quasi-totalité des sociétés de la planète, la franc-maçonnerie, l’homosexualité et la pédophilie cohabitent harmonieusement dans des lieux de rassemblement destinés aux pratiques orgiaques qui sont des conditionnalités pour accéder à certaines responsabilités et fonctions étatiques dites hautes ou prestigieuses. Le mot tiré de l’anagramme de Luc (cul), l’un des plus petits prénoms masculins français du monde de 3 lettres, est rendu précieux par le plaisir, de type sexuel, qu’il procure aux pères de familles au point de les rendre débiles, fous et criminels.

Le Gabon est le lieu d’expérimentation de toutes les diaboliques pratiques à base de pouvoir, de l’argent et de sexe qui ramènent L’Homme à la sauvagerie, à la barbarie et l’animalité. Pauvres Humains : Pauvre Gabon ! Pauvres Gabonais ! Pauvres nègres !

 

 

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