Pour répondre à l’invitation de la coordination locale de son parti, l’Union pour la démocratie et l’intégration sociale (UDIS), Hervé Patrick Opiangah s’est rendu, le samedi 23 juillet dernier, aux Trois quartiers, dans le premier arrondissement de la commune de Libreville. Une occasion pour lui de s’imprégner des difficultés quotidiennes des populations de cette zone et, de leur proposer des pistes de solutions.
Comme pour rendre témoignage du concept d’intégration sociale prôné par sa formation politique, l’UDIS, Hervé Patrick Opiangah multiplie ces derniers temps les rencontres citoyennes avec ses compatriotes, aussi bien de l’interieur du pays, que de la capitale gabonaise.
Lors de sa visite dans le premier arrondissement de la commune de Libreville, l’homme politique et homme d’affaires a écouté avec une attention toute particulière les difficultés qui jalonnent l’existence des habitants de cette partie de la capitale gabonaise, pris dans leurs différentes composantes. Comme doléances, on retient pèle mêle de la part des jeunes, des femmes et des sages du 1er arrondissement, le développement des micro-projets, la mise en place des espaces récréatifs, du matériel pour lutter contre l’insalubrité, des formations diplomantes dans divers corps de métiers, l’amélioration de l’éclairage public, la lutte contre le chômage endémique des jeunes etc.. Autant de doléances pour lesquelles le promoteur de la Société gabonaise de développement agricole (Sogada) s’est interdit de faire de fausses promesses. « Je ne veux pas vous nourrir d’espoir. J’aime modestement m’engager pour des choses que je peux réaliser « , a t-il fait remarquer, avant d’ajouter que « Si je commence à vous dire que je vais faire ci ou ça, c’est du populisme».
Hervé Patrick Opiangah, bien connu pour etre un self made man dans les affaires, a plutôt exhorté les jeunes a sortir de l’assistanat et à se prendre en mains par le biais de l’entreprenariat. »Personne n’ignore que la vie est difficile dans notre pays. Mais ce n’est pas pour cela que nous allons baisser les bras », a t-il souligné.
In fine, il a invité les uns et les autres, non pas à tomber dans le découragement mais, à formaliser des regroupements de personnes pour lesquels il pourra aisément se battre afin de leur trouver l’aide appropriée.