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Vœux de nouvel-an au Président Brice Clotaire Oligui Nguema : Des raisons d’espérer des lendemains meilleurs pour la presse gabonaise

Jean Robert Elmut Moutsinga Boulingui, présentant pour le compte de la presse les vœux de nouvel an au Président Oligui Nguema et à son épouse

Vendredi 5 janvier 2023,  la presse à clôturé la cérémonie de présentation des vœux de nouvel An au Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la transition,  Chef de l’État et à la Première dame. Cette nouvelle année s’annonce riche en espoir pour le 4e pouvoir au Gabon.

Pour aller plus en avant dans la communication, le cercle de la presse gabonaise et son représentant, Jean Robert Elmut Moutsinga Boulingui, Directeur général du groupe Gabon télévision ont plaidé pour une ère nouvelle de refondation, de responsabilité sociale et de reconstruction du pays, à l’occasion de la cérémonie de présentation des vœux à Brice Clotaire Oligui Nguema et à son épouse. « Au registre des actions sociales, les médias publics après avoir inauguré les toutes premières dotations, cinq moyens roulants de la part du CTRI, vient de bénéficier 500 postes budgétaires, une dotation massive inédite. Si en moins de 120 jours le vécu de la presse gabonaise semble déjà en phase avec la dynamique impulsé, nous sommes convaincus que pour les 365 jours de l’année 2024 et avenir, votre vision pour la presse pourrait décupler la plénitude de nos capacités à mieux accompagner la transition en contribuant efficacement au développement du pays », s’est montré reconnaissant Elmut Moutsinga Boulingui envers le CTRI. De ce fait, le secteur de la communication pourrait multiplier son implication au décollage de reconstruction conformément aux ambitions du CTRI pour une société plus libre, plus égalitaire et plus démocratique.

Pour le Président de la transition Brice Clotaire Oligui Nguema, se montrant rassurant envers les hommes des médias, « la presse a des missions essentielles dans une société libre et démocratique, elle peut servir d’aiguillon pour la bonne gouvernance et pour la justice sociale. Elle est libre, elle doit le demeurer. Tout journaliste au Gabon peut parler, écrire,  imprimer librement dans les limites définies par le code de la communication ». Et d’ajouter, « je suis conscient des difficultés que vous rencontrez au quotidien, ces préoccupations méritent une prise en compte et une recherche parfaite des solutions idoines ».

L’année 2024, à l’ère du CTRI, se montre fructueuse en espoirs pour le secteur communication dans la mise en œuvre de la transition et la restauration des institutions.

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