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Affaire Halding Partenaire à Libreville Gabon : Le travail d’artiste du pôpô Akim Mohamed Daouda

Akim Mohamed Daouda

Visiblement le PCA de l’UGB et DG du FGIS n’a pas fini de faire parler de lui. L’homme est cité dans une énième affaire qui vient mettre en mal la crédibilité du Président du conseil d’administration de l’Union gabonaise des banques (UGB) et Directeur général du Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) le sémillant Akim Mohamed Daouda qui en plus de se servir du FGIS comment ascenseur social pour lui et sa bande d’ami étranger, n’a visiblement pas l’étoffe pour administrer les entreprises partenaires. C’est du moins ce qui ressort de l’interview accordée par le site d’investigation le Confidentiel à l’ancien directeur de Handling Partenaire Gabon Eric Boisseau Beharn.

C’est dans une interview pleine de révélations accordée au site d’investigation le confidentiel que l’ancien directeur générale de Handling Partenaire Gabon (HPG) associé du Fond Gabonais d’Investissement Stratégique (FGIS) s’est ouvert sur la situation financière de la société d’où il a été licencié selon ses dires pour malversations financières. De cette interview riche en informations il ressort que l’entreprise créé en 2018, connaissait déjà des difficultés de paiement de salaires en novembre 2020, et était en faillite avec une perte de 1.8 milliard de francs en 9 mois mais les actionnaires ont maintenus son fonctionnement.
Il semblerait qu’au FGIS les affinités prime sur les compétences, mais aussi que le FGIS et son partenaire R-Logistic filiale de Monaco Ressource Group ont du mal à s’entendre, un bras de fer dont l’ancien directeur nommé par la filiale aurait fait les frais. On peut également lire « Par rapport à l’affaire HPG, la tête de Akim Douada doit être affichée. Il est complice de tout ce modèle par son absence totale durant près de 3 ans et me met tout ça sur le dos. » Si on comprend bien cette entreprise a évolué sans suivie et pourquoi le directeur du FGIS est-il si impliqué dans cette entreprise alors que l’article 8 stipule parlant du rôle du FSRG dont le FGIS est une composante, qu’il accompagne l’investissement des entreprises gabonaises et étrangères dans les secteurs stratégiques par leurs apports financiers, mais on constate que le directeur du FGIS, est lui-même à la tête de nombreuse de ces entreprises. Est-ce que sa fonction de directeur lui confère réellement ce droit ? Akim Mohamed Daouda est de ce fait juge et partie. Si ce n’est pas du conflit d’intérêt, alors c’est tout comme… Comment comprendre que les personnes mandatées pour aider à promouvoir les investissements stratégiques dans notre pays soient également celles qui les gèrent, ou leurs proches ? Ce fonds sensé emmener des investisseurs fiables et développer des entreprises déjà existantes est devenu la chasse gardée d’un individu, loin du vrai modèle d’investissement que l’on connaît.
La société qui assure les activités de fret aérien à l’aéroport de Libreville (ADL), est actuellement dirigée par Didier KouaKoua nommé par Akim Mohamed Daouda certainement pour mieux assurer ces arrières. Ce scandale est loin d’honorer le FGIS, ni de rassurer les investisseurs bien au contraire. Au lieu de virer le directeur Akim Mohamed Daouda devrait comprendre que cette situation lui incombe autant au lieu de chercher le coupable ailleurs.
L’autre affaire où revient le nom du pôpô Akim Daouda, et qui anime les réseaux sociaux en ce moment, est celle du décès de notre compatriote feu Marcelin Massila Akedengue, ex DG de GPC au FGIS et PCA de SETEG, quel rôle le pôpô adepte du vaudou a joué dans cette affaire ? Nous y reviendrons.

Ornika B.

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