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Présidence de la République Gabonaise /Michel Ogandaga : une « vomissure » médiatique chassée du Palais

A droite du dictateur émergent, le sulfureux communiquant du palais à l’époque, l’anti-fang Michel Ogandaga

Michel Ogandaga, l’une des lumières de l’émergence au chômage ? C’est ce que nous apprenons en lisant le communiqué final du Conseil des ministres du mercredi 07 février 2024 dernier. Tribaliste pur jus, son insolence n’avait d’égales que son imbécilité et son impolitesse primaire. L’ « outangani » (le Blanc) du palais vient de tomber comme un fruit mûr. Et ce sont les Fang, particulièrement ceux du Woleu-Ntem, qui doivent en rire tout en buvant du petit lait.

Michel Ogandaga est l’un de ces irréductibles et radicaux de l’ancien régime déchu qui pensaient dans leur naïveté que le régime des Bongo-Valentin-PDG allait être au pouvoir ad vitam aeternam, « mbèmbè ». Que nenni ! Un homme qu’il avait l’habitude de croiser ou de côtoyer dans les couloirs du palais a, malheureusement pour lui, décidé de mettre un terme à cette forfaiture qui n’avait que trop duré. Ah, Machiavel ! N’avait-il pas écrit que « c’est celui qui éclaire le prince qui est aussi celui qui le dénonce » ? On ne peut que dire merci au Gl Brice Clotaire Oligui Nguema pour ce « coup de libération », même si, pour le moment, il semble bégayer.
De Michel Ogandaga on retient sa haine maladive envers la communauté fang qu’il vouait aux gémonies. On se souvient encore de cette algarade : « Je suis un homme en colère, écœuré par ce qui se trame actuellement au sein du PDG dans le Woleu-Ntem. Même si la traîtrise de nombreux militants PDG du Woleu-Ntem ne surprend personne, cette province a toujours été le bastion du judaïsme, l’antichambre du salafisme…Vous avez de la chance que je ne sois ni ministre de l’Intérieur ou de la Défense. Je vous aurais donné une bonne leçon, une bonne bastonnade juste après votre trahison, à poil et du piment rouge aux fesses, au bangala et sur tout le corps… Fumier va ! ». Nous étions en juillet 2014. Dix ans après, Voilà Ogandaga qui va bientôt entamer sa grande traversée du désert. Gageons qu’il ne trouvera pas un Fang sur son chemin à qui il quémandera la pitance.
Bon vent, camarade ! Les Fang te saluent bien !

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